Olea europaea

Olea

Calice court, à 4 dents peu prononcées. Corolle presque rotacée, à 4 lobes. Etamines 2, saillantes. Drupe charnue, ordinairement à un noyau osseux, à une graine.

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Olea europa L.

Olivier

Oleaceae

Description de De Pouzolz

Arbre de moyenne taille, très rameux, à écorce grisâtre, lisse dans les jeunes sujets.
– Feuilles persistantes, opposées, ovales, oblongues ou lancéolées, entières, coriaces, vertes et parsemées de points blancs en dessus, blanches-soyeuses en dessous, où elle est munie d’une nervure longitudinale saillante.
– Fleurs blanchâtres, disposées en petites grappes axillaires.
– Calice en coupe.
– Corolle à lobes oblongs, profonds étalés, beaucoup plus longs que le calice.
– Drupe (olive) plus, ou moins charnue, oblongue ou arrondie, ordinairement noire à la maturité.

Les feuilles de l’olivier sont astringentes ; son écorce est amère, tonique et fébrifuge c’est de ses fruits que l’on retire l’huile d’olive. On confit les olives mures dans l’huile ; les vertes, appelées couyacha, se confisent dans l’eau-sel, après leur avoir fait subir une préparation pour leur faire perdre leur amertume et conserver leur couleur verte.

Observations de De Pouzolz

Hab. Cultivé en grand et sous une foule de variétés, dans les parties basses ou peu élevées du département.
Fl. mai, fr. septembre-octobre.

Observations SESNNG