CATALOGUE
DES
MOLLUSQUES MARINS
du Gard

(Suite et fin) (1).

Section B. – Sinupalléales (d’Orb)
FAM. XI – VENERIDES

LI. – Genre Venus. – Venus (Lin.)
1er Sous genre – Venus.

N° 129.·VÉNUS A VERRUES – VENUS VERRUCOSA (Lin.)
Lamk. t. VI, p. 338.Payr. p. 48. Sow. pl.·4, f. 13
V. Lemanii. Payr. p.·53.
Hab. Golfe d’Aiguesmortes — zone littorale — enfoncée dans
le sable près des rochers – rare. La. V. Lemanii, Payr., est
établie sur un jeune individu de cette espèce.

N° 130—VENUS POULE— VENUS GALLINA (Lin.)
Lamk. t. VI, p. 347.Payr. p. 49.
Hab. Zone littorale et des Laminaires, dans le sable — commune. On en distingue trois variétés
1° Var. Albo – radiata, à rayons blancs.
2° Var. Fusco – radiata, à rayons bruns.
3° Var. Marmorata (Req.), portant de petits caractères anguleux et en zig – zag.

(1) Voir. Année 1873, n°2 et 4, et 1874 n° 2, 3 et 4

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N° 131. – VENUS CHAMBRIÈRE. VENUS CASINA (Lin.)
Lamk. t. VI, p. 340. Payr. p. 49.
V Rusteruci. Payr. p. 52, pl. 1. f. 26 – 27.
·Hab. Mêmes lieux – assez commune. . •
2ème Sous – genre. Cythérée Cytherea (Lamk.)

N° 132. – CYTHÉRÉE FAUVE. CYTHEREA CHIONE (Lamk.)
Lamk. t. vi, p. 305. Payr. p. 47.
Hab. Golfe d’Aiguesmortes – zone des Corallines – fonds sablonneux, à une profondeur de 26 à 30 mètres – très commune – se trouve en abondance sur la plage pendant l’hiver après les temps d’orage.
3ème Sous – genre. – Artémis. Artemis (Poli.)

N° 133. – ARTEMIS EXOLÈTE. ARTEMIS EXOLETA (Lin.)
Citherea. Lamk. t. VI, p. 314. Payr. p. 47.
Sow. pl. 4, f. 10
Hab. Mêmes lieux que la précédente – rare. Nous nommerons trois variétés :
1° Var..lntegra _ sans rayons ni lignes longitudinales.
2° Var. Radiata. à rayons.
3° Var. Lineata – avec de petites lignes longitudinales brisées et de couleur rousse ou brune.

N° 134. – ARTEMIS LUSTRÉE. ARTEMIS LINCTA (Lamk.)
Cytherea. Lamk. t VI, p 815. Req. p. 28.
Sow.pl. 4, f.11.
Hab. – Mêmes lieux – rare.
4ème Sous – genre. – Tapes. Tapes (Mulhf.)

N° 135. TAPES CROISEE. TAPES DE CUSSATA (Lin.)
Venus. Lamk. t. VI, p. 356. Payr. p. 50.
Sow. pl, 4, f. 6.
Hab. Au pied des rochers qui défendent les jetées du Grau – dans la vase – assez rare – comestible. On la nomme vulgai­rement Clonisse ou Clovisse, sans pourtant la distinguer des

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deux suivantes, qui portent le même nom. Très variable dans sa coloration.

N° 136. – TAPES GÉOGRAPHIQUE. TAPES GEOGRAPHICA. (Cheum)
Venus. Lamk. t.VI, p, 355 – Payr. p. 51.
Hab. Mêmes lieux – assez rare.

N° 137. – TAPES VIRGINALE.TAPES VIRGINEA. Lin.)
Lamk. t. VII, p. 300 Req. p 25.
V. Edulis. Phil., t.II, p. 35
Hab. Mêmes lieux – peu commune – ainsi que ses variétés sur le littoral mais se vend en quantité sur le marché de Nîmes. Cette espèce est essentiellement variable et a donné naissance à de nombreuses races bien caractérisées et qui se croisent sans doute entre elles pour donner naissance à des métis, lesquels présentent réunis les caractères de coloration de leurs parents. Nous sommes là probablement en face d’une variation compliquée de métissage, qui a donné lieu à la formation de nombreuses espèces simplement nominales, surtout de la part de Lamarck. Après lui, les conchyliologistes ont regardé comme type,les uns, la Venus florida, les autres la Venus virginea. Toutes les probabilités paraissent être pour cette dernière opinion, et c’est pour cela que nous nous y conformons. Cependant le doute est permis et nous inclinerions à penser que les deux vénus citées plus haut, sont seulement deux races, l’une petite, l’autre grande, d’une espèce typique impossible encore à déterminer. Mais, vu l’incertitude du fait, on comprendra que nous nous tenions sur ce point dans une prudente réserve. Voici l’énumération des principales races de la Tapes virginale :
1e T.ENTRELACEE. T. TEXTURATA (Lamk.)
Lamk. t. VI. p 355.
Var. 1. reticulata. Phil. t. 1, p. 46
Nous avons observée une variété réunissant le réticule brun

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du Tapes texturata aux rayons caténés du Tapes catenifera :
ce doit être un métis que nous proposons de nommer Tapes
texturato – catenifera.

2° T.CATÉNIFÈRE. T. CATENIFERA (Lamk.)
Lamk. t. VI, p. 366. Phil. t. 1, p. 46 (var. 2).
3° T. ROUSSE. T. RUFA (Phil.)
Phil. t. 1, p. 46 (Var. 4).
Cette race a parfois les sommets violâtre peut – être par suite d’un croisement avec le T. petalina.
4e T. FLEURIE. T. FLORIDA (Lamk.)
Lamk. t. VI, p. 564
Se croise parfois avec T. catanifera.
5e T. BEDEAU.·T. BICOLOR (Lamk.)
Lamk. t. VI, p. 365
6e. T.·PETALINE. T.·PETALINA. (Lamk.)
V. Beudanti. Payr. p. 53
Donne des métis avec T. florida.
7e T.DORÉE. T. AUREA (Lamk.)
Lamk. t. VI, p. 360

L1. Genre Pétricole. Petricola (Lamk.)

N°138. – PÉTRICOLE LITHOPHAGE. PETRICOLA LITHOPHAGA (Retz.)
Lamk. t. IV, p. 158. Phil. pl. 3, f. 6.
Hab. Dans les rochers qui défendent les jetées du Grau du
Roi. Cette espèce Comprend les espèces fort peu distinctes
qu’avait créée Lamarck sous le nom de Striata, Costellata et
Roccellaria.

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FAM. XII. – TELLINIDÉS.

LIII. – Genre Telline. Tellina (Lamk.)

N° 139. – TELLINE PALESCENTE. TELLINA DEPRESSA (Gmel.)
Lamk. t. VI, p. 196. Payr. p. 38.
Hab. Golfe d’Aiguesmortes – zone littorale dans le sable – très commune – se rencontre aussi dans la zone des Laminaires.

N° l40. – TELLINE GENTILLE. TELLLINA PULCHELLA (Lamk.)
Lamk. t. VI, p. 196. Payr. p. 38.
Hab. : Mêmes lieux que la précédente – commune. Il s’en trouve une variété d’un jaune pâle et soufré que nous appellerons : variété ambrée, electrica.
N° 141. – TELLINE ONYX. TELLINA NITIDA (Poli.)
Lamk,. t. VI ;p. 199. Payr. p. 38.
Hab. Mêmes lieux – moins commune.

N° 142. – TELLINE DE LANTIVY. TELLINA LANTIVYI (Payr.)
Lamk. t. VI, p. 210. Payr. p 40, pl.3 f. 13 – 15.
Hab. Zone littorale – très – commune. La T. Fabula. Gmel.
Lamk., t. VI, p. · 1977, est une variété de cette espèce et diffère seulement du type parce qu’elle ne porte des stries que sur la valve gauche.

N° 143. – TELLINE TRANSPARENTE. TELLINA HYALINA (Desh.)
Psammotea candica. Lamk. t, VI, p. 183. Req., p. 19.
Hab. Mêmes lieux que la précédente – assez rare.

N° 144. – TELLINE FRAGILE. TELLINA FRAGILIS (Lin.)
Req. p. 20. Petricola ochroleuca. Lamk. t. VI, p. 157.
Hab. – Mêmes lieux – rare.
LIV. – Genre Psammobie. Psammobia (Lamk.)

N° 145. – PSAMMOBIE BORÉALE. PSAMMOBIA FŒRENSIS (Lamk.)
Lamk. t. VI, p.·172. Sow. pl. 3, f. 1.
Hab. Golfe d’Aiguesmortes – fonds sablonneux – zone des Laminaires – rare.

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N° 146. – PSAMMOBIE VESPERTINALE. PSAMMODIA VESPERTINA (Lamk.)
Lamk. t. VI. p. 170·Phil. t. 1, p· 22
Hab. Mêmes lieux que la précédente – très rare

LV. – Genre Mésodesme. Mesodesma. (Lamk.)

N° 147. – MÉSODESME MEDONACILLE. MESODESMA DONACILLA. (Desh)
Lamk. t. VI, p 133. Payr. p. 31.
Hab. Golfe d’Aiguesmortes – zone littorale – fonds sablonneux très – rare.

LVI. – Genre Donace. Donax (Lin.)

N° 148. – DONACE. DES CANARDS. DONAX ANATICUM (Lamk.)
Lamk. t. VI, p. 249. Payr. p. 46
Hab. Zone littorale, dans le sable et au bord des petites anses creusées par le flot – très commune. Nous réunissons sous ce nom le Donax anatinum Lamk., et le Donax trunculus, Lamk., qui n’en diffère que par la couleur et la présence de quelques stries obsolètes.

FAM. XIII. MACTRIDÉS.

LVI. – Genre. Mactre. Mactra (Lin.)

N° 149. – MACTRE LISOR. MACTRA STULTORUM (Lin.)
Lamk. t. VI, p. 99. Payr. p. 29.
Hab. ·Zone littorale – enfoncée dans le sable – commune. Nous réunissons à cette espèce la Mactre lactée, M. lactea, Lamk., t., VI, p. 103, comme simple variété de couleur : comestible.
L VII. – Genre Scrobiculaire. Scrobicularia (Schum.)
N° 150. SCROBICULAIRE CALCINELLE. SCROBICULARIA PIPERATA (Phil.)
Phil. t. II p. 8. Lamk. t, VI. p. 92.
Hab. L’étang de Repausset et le canal d’Aiguesmortes – commune

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N° 151. – SCROBICULAIRE DE COTTARD. SCROBICULARIA COTTARDII (Payr.)
Payr. p. 28, pl. 1, f. 1 – 2.
Hab. Mêmes lieux – plus rare.

LVIII. – Genre Lutraire. Lutraria (Lamk.)

N° 152. – LUTRAIRE OBLONGUE. LUTRARIA OBLONGA (Chemn.)
L. Solenoides Lamk., t. VI, p. 90. Sow. pl. 4. f.3.
Hab: Zone littorale, dans le sable – peu commune.

N° 153. – LUTRAIRE ELLIPTIQUE. LUTRARIA ELLIPTICA (Lamk.)
Lamk. t. VI, p. 91. Req. p. 14.
Hab. Mêmes lieux que la précédente – assez abondante.

FAM. XIV – SOLENIDÉS
LIX. – Genre Solen. Solen (Lin.)

N° 154. – SOLEN GAINE.·SOLEN VAGINA (Lin.)
Lamk, t. VI, p, 53. Payr. p. 26.
Hab. Zone littorale – assez commun. Epiderme jaunâtre.

N° 155 – SOLEN DILIQUE. SOLEN SILIQUA (Lin.)
Lamk. t. VI, p. 55. Req. p.14.
Hab. Zone littorale, parfois zone des Laminaires – très commune.

N° 156. – SOLEN SABRE. SOLEN ENSIS (Lin.)
Lamk. t. VI, p. 54. ·Req. p.14.
Hab. Zone littorale·et des Laminaires – Commune

N° 157 – SOLEN GOUSSE. SOLEN LEGUMEN (Lin.)
Lamk. t. VI, p. 57. Req. p. 14.
Hab.Zone littorale et·des Laminaires – très commune.
LX – Genre Solécurte. Solecurtus (Blainv.)

N° 158. – SOLÉCURTE ROSE. SOLECURTUS STRIGILLATUS (Lin.)
Solèn.:Lamk. t. VI, p. 60. Payr. p. 28.
Hab. Zone littorale – dans le sable – assez commune.

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N° 159. – SOLÉCURTE RÉTRÉOL. SOLECURTUS COARCTATUS·(Gmel)
Lamk. t. VI, p. 59. Req. p. 14
Hab. Mêmes lieux – peu commune.

FAM. XV MYACIDES (1)

LXI. – Genre Corbule. Corbula (Lamk.)

N° 160 – CORBULE NOYAU. CORBULA NUCLEUS.(Lamk.)
Lamk. t. VI, p. 139.Payr. p. 32.
Hab. Zone littorale. – commune

N° 16l. CORBULE PORCINE. CORBULA PORCINA (Lamk.)
Lamk. t. VI, p. 140.
Hab. Zone littorale – très rare.

FAM. XVI ANATIDÉS

LXII. Genre Ànatine. Anatina (Lamk.)

N° l62. – ANATINE BRILLANTE. ANATINA CORRUSCANS (Scachi.)
Osteodesma. Phil. t. II, p. 15, pl. l4, f. I
Hab. Zone littorale,·trouvée une seule fois.

LXIII. – Genre Thracie. Thracia (Leach.)
N° 163. – THRACIE CORBULOIDE. THRACIA CORBULOlDES (Desh.)
Lamk. t; VI, p 83. Req. p 16
Hab. Zone littorale dans le sable – très rare.

N° 164. – THRACIE PHASEOLINE. THRACIA PHASEOLINA (Kiener.)
Phil. t. II, p. 18. Req. p. 16
Hab. Zone littorale – dans le sable – assez rare

(1) Nous mentionnons ici la Panopée glycimère, Panopea glycimeris. Borrn. trouvée subfossile par feu M. Emilien Dumas, dans les sables de la côte· voisine de Palavas

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LXIV. – Genre Pandore. Pandora (Lamk.)

N° 165. – PANDORE INÉQUIVALVE. PANDORA INŒQUIVALVIS (Lin.)
P. Rostrata. Lamk. t. VI, p 145.
Hab. Zone littorale et des Laminaires – commune.

FAM. XVII. – GASTROCHŒN1DÉS.

LXV. – GENRE Gastrochêne. Gastrochœna (Splenger.)

N° l66. – GASTROCHÊ MODIOLINE. GA.STROCHŒNA MODIOLINA
(Lamk.)
Lamk. t. VI, p. 49.
Hab. Golfe d’Aiguesmortes – perfore les coquilles et les calcaires – très rare.

FAM. XVIII. – PHOLADIDÉS.

LXVI. – Genre Pholade. Pholas (Lin.)

N° 167. – PHOLADE DACTYLE. PHOLAS DACTYLUS (Lin.)
Lamk t. VI. p. 43. Req. p. 13.
Hab. Les rochers et les bois submergés qu’elle transperce – assez rare.

N° 168. – PHOLADE SCABRELLE. PHOLAS CANDIDA (Lin.)
Lamk. t. VI, p. 44. Req. p. 13.
Hab. Mêmes lieux que la précédente – plus commune.

LXVII. – Genre Taret. Teredo (Lin.)

N° 169. – TARET COMMUN. TEREDO NAVALIS (Lin.)
Lamk. t. VI, p. 38. Payr. p. 27.
Hab. Dans les bois submergés qu’il transperce – commun.

N° 170. – TARET DES SABLES. TEREDO ARENARIA (Lamk.)
Lamk. l. Vt, p. 33. Req. p. 13.
Hab. Mêmes lieux – moins commune.

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NOTES.

Ajouter au genre Fuseau, page 71, année 1874 :

N° 171. – FUSEAU MIGNON. FUSUS PULCHELLUS (Phil.)
Phil. t.II, p. 178, pl. 25, f. 28.
Hab. Zone des Laminaires – ·trouvé une fois à dix mètres de profondeur dans le Golfe.
Ajouter au genre Nasse, p. 72 :

N° 172. – NASSE FASCIÉE. NASSA CORNICULUM (Olivi.)
Lamk t. X, p. 167. Phil. t. I, p. 222.
Hab. Rochers des jetées du Grau – peu commune.
Ajouter, à propos de·la variété de l’Aporrhais pes pelecani, p.75 :
Philippi a nommé notre variété bilobata, var. digitus fribus, en lui donnant pour caractéristique : premier doigt très court et accolé à la spire. Cette variété nous semble être produite par un arrêt. dans le développement des doigts.
Ajouter à la famille des Haliotidés, p. 107 :
Genre Janthine. Janthina (Lamk.)

N° 173. – JANTHINE PROLONGÉE. JANTHINA PROLONGATA (Blainv.)
Lamk. t. IX, p. 5.
Hab. La haute mer. Ce mollusque peut être accidentellement poussé dans le Golfe. M. le frère Samuel, directeur des écoles chrétiennes de Nîmes, en a trouvé quelques échantillons sur la plage de l’Espiguette.

NOTES DE DRAGAGES
FAITS SUR LE LITTORAL DU GARD
par C. CLÉMENT.
Date – 26 Avril 1874.
Localité – Partie occidentale du golfe D’Aiguesmortes, à 2 kilom.de la côte.
Profondeur – De 7 mètres jusqu’à 11 mètres.
Nature du fond – Sable fin gris.

N – B. – Ce signe *, mis à côté d’un chiffre, indique que l’on a trouvé l’espèce en valves détachées.

(1) Voir la description que nous avons donnée de cette espèce nouvelle, dans le Bulletin n°·4 – année 1871.

Date – 4 Novombre 1874.
Localité – Partie orientale du golfe d’Aiguesmortes, depuis le Grau du Roi jusqu’à la pointe de l’Espiguette.
Profondeur – De 5 mètres à 10 mètres.
Distance de la côte – l kilom. et l kilom 1/2.
Nature du fond – Vase grise très molle.